L'AmouR oubliEr

vivre d'amour est-ce possible? du vrai amour, le véritable...

Qui n'existe que dans mes rêves et pourtant qui me manque et j'en verse des larmes à y penser. L'amour de ma vie l'amour d'un instant. Aussi fort et formidable soit-il, je ne regrette pas ces instants de bonheurs même si pendant deux années je n'ai fais que penser à lui.

Il s'appelait Frédéric, il était châtain clair, il avait les yeux bleus et devait avoir dans les quatorze quinze ans. Son regard était intense et sa lumière l'habillait comme d'un voile dont on ne se sépare jamais. L'eau coulait et on l'entendait. A cet époque là je ne m'aimais pas, je ne m'appréciait pas car je subissait des critiques de toutes part. Mais lui il était là. ça devait être un mardi après-midi vers seize heure trente quand une silhouette aux yeux bleus apparut, c'était la première fois : c'était mon premier coup de foudre. Un coup que je ne regrette pas, un coup que j'ai longuement rêver : et s'il y avait une grotte secrète qu'on ne connaissait que tous les deux; on est aurait pu s'y retrouver et discuter de toute chose mais aussi de rien...Il était magique car il m'aimait et moi aussi je l'aimais. On s'aimait pendant de long regards intenses. Il faisait que je me sente bien et je me sentais bien, il faisait que j'aille bien et je me portais bien près de lui

l'amour de ma vie l'amour qui trompe, l'amour qui danse, l'amour qui frivolte, l'amour danse et chante l'harmonie, l'amour s'en va l'amour revient......l'amour ne part jamais...l'amour est la salsa l'amour est la samba.....l'amour d'hier-aujoursd'hui, l'amour de demains inssaissables, l'amour oublié l'amour éternisé; l'amour épousé, l'amour repoussé; l'amour travailler et l'amour déçu...l'amour épargné, l'amour exécuté. L'amour esclavagiste,, l'amour sans haine; l'amour dans l'espoir, l'amour et la mort : une éternelle porte sans clef? Un baiser furtile au coucher de la nuit? Un escabot sans huitres à la fraîcheur du matin.....un dessein non epargné, et un goujat sans réelle magie....

L'amour d'aujourd'hui m'a oublier, l'amour d'hier m'a trompé et mon amour de main m'est absent...que de rares ocacaions ratés, que de nouvelles déceptions renait, que la coutume emplit dans un état de viennoi. Pour ainsi dire, un languege se crée, un amour s'en va, un amour revient, pour ainsi dire je ne sais que penser, penser n'est pas traumatiser . L'amour s'est souvent tait, l'amour n'oublis personne, la personne s'oubli elle-même...l'homme se cherche l'homme est l'amour. L'homme est la sensation agréable de l'homme, ainsi l'homme soupir de l'homme, aussi polyvalente que demain sera la journée de l'instant à l'instant présent même que devient l'homme d'être l'homme celui qui nait, celui qui est nait, celui sans doute de l'égoisme, celui sans doute de l'on ne sait quoi exactement mais l'on ne sait réellement l'existence du pourquoi car le monde est ainsi fait de mal d'amour de mal d'aimer de mal d'être, l'amour est autour de celui qui vit de celui qui existe car l'homme porte l'amour et l'amour berce l'homme; l'homme souffre de l'amour quand l'amour déverse sa lampe remplit d'épine, la fleur qui autrefois sentais bon et respirait la fraîcheur est devenue celle qui a fanné ajourdhui celle qui ne respire plus celle qui contredit le nombre d'être existant sur cette terre, le monde d'aujourd'hui est transparent, le monde d'aujourd'hui est fous est espaagnol....l'amour oublier lamour des foirs, l'amour d'existence, l'amour rempli, l'amour de joie l'amour fait l'homme l'amour pousse l'homme l'amour n'est que l'homme quand sera l'homme qui le comprendra ainsin va notre monde notre coeur de monde d'amour ainsi va notre conscience surchargé d'immondes et de verts de rondes d'amour flottant, d'amour assaillants, d'amour survolants, d'amour aujourd'hui qui m'a troublé qui ne pas quitté, l'amour d'un seul jour l'amour qui m'a oublier, car mon amour l'a effacé, d'apparence il eut cru, d'apprence il eut repoussé, d'apparence il m'oublia ainsi va notre monde notre monde charnelle ainsi va notre valse la valse du lendemain une espérance sans fin de rien de va le monde notre être sans fin notre plaisir charnelle sans conséquences, notre dispute, notre ignorance nos ennuis, nos partages, la danse des chevroiles ainsi la terre tourne, ainsi l'homme tourne, quelle angoisse, quelle terreur, selon toute philosophie chacun est ce qu'il est et cela dépend de chacun de comment chacun le goût des choses chacun devient chacune st l'homme de l'homme et pour cela l'homme est l'homme et il ne faut rien espérer de l'homme il faut vouloir quelque chose de soi car l'autre n'est qu'un reflet d'une autre cassette de vous-même qui est aussi chaleureuse que vous pouver l'être l'amour s'oublis car l'homme  oublié c'est pour cela que je met fin à là l'austensile de la paix.........

c'était sur une haie; sur le haut d'une plage,un loisir d'ado; un péché d'innocent , un regard étouffant; un baiser éparpillé ; une larme tranchante, une goûte d'eau effrayante; un lendemain sans passé, un regard inoubliable, insoumissant, enchantant, elexiant, tout à fait probable que je n'ai que rêvé. Je continue de révasser dans un monde incensé; je continue de pleurer des joies éperdue, je continue de sommnoler des rêves inconnus; je continue de poser des questions sans réponses; je continue de faire ce que j'ai à faire....je dors au lointains, un sourire à la main, un cadeau bien trop lourd, bien pesant; un arbre à la main; un regard dans l'océan, telles mes expressions qui n'agent sans impressions; telle une plage sans contre-feuilles pour la ressoré

devenu âme de mon âmes soeur découvrit la lumière du chemin étroit séparant les monde des siècles et des univers; y deumera toute une éternité auprès de son âme chéri de sa douce et aimante Aranarh;on y sentit une odeur du château enfouit depuis des décénies, caché derrières les tumultueuses qui nous parvenanit routes obscurs, mais fallait-il regarder ailleurs pour y devini que c'était ici le monde dont on fait rêve chaque nuit, dont on pense à la minute là qui suit, . sentez vous flotter, berser par les harmonieuse fées de l'air secouant vos pieds nus doux et serin sur le flot apaisant de la lumière douce et chaude qui vous pénètre de port en port en vous.

sentez-vous bercez, pitoyer, voler, dis-persé, âme et esprit vivante; chantez ce que le vent à oublier d'écrire, dites au monde vos envies, vos rages, dites leur que vous êtes une âme foltante, et que, vous respirer enfin....enfin sentez l'air frais!!!!!

il trançade pas à pas me rejoint, me joignit la main je souris il m'invite . je suis au temple des heureuse je suis tous ce qu'il doit être

Virdongne, est revenu après de longs mois de trajets et de morts incessants, je dois l'avoué que ces réssucitements ne m'ont pas épuisé de ma force trinvoyante....bon je suis fatigué

sous l'aube naissante, la verdure nouvelle(mdr) le voilà qui arrive et il a des ailes, il porte de même une jolie et belle robe blanche(pour un homme?) mais on s'en fiche; il sourit c'est l'essentiel.